Dans ce jardin des Marettes, il y avait une seule ruche installée l'an passé.
Pas pour récolter le miel, juste pour attirer les abeilles et créer et maintenir ainsi la biodiversité. Les abeilles se nourrissent ainsi elles-mêmes de leur propre miel en hiver. De plus, ce sont elles également qui construisent leur cadre. Ce qui les peut les rendre "plus calmes" car elles ont l'énergie pour faire cette action; trop leur mâcher le travail peut rendre les abeilles qui construisent un peu plus agressives...
Voir aussi cet article (clic/clic)
Ruche Voirnot
Cette ruche Voirnot hiverne bien en raison de son petit volume, ce qui présente un intérêt dans les régions où l’hiver est rigoureux.
Par contre son démarrage est plus lent au printemps.
Le créateur :
L’abbé Voirnot né en 1844 à Moivrons en Meurthe et Moselle met au point une ruche cubique. Le format intérieur de 36 cm x 36 cm x 36 cm permettait à un essaim naturel de l’année de se développer en une saison et de provisionner suffisamment les rayons de cire de réserves de miel et de pollen.
La ruche ainsi constituée, fut très vite dotée d’une hausse (étage supplémentaire amovible) pour permettre aux abeilles de stocker des réserves supplémentaires directement au-dessus du nid à couvain.La hauteur de la hausse, correspondait à la moitié de la hauteur du corps de la ruche.
On la trouve principalement dans les pays de l’Est tout comme dans certaines régions de France: Les alpes, toute la région EST, mais aussi en Suisse et en Allemagne et dans les pays d’Afrique du nord.
En règle générale, dans toutes les régions froides la ruche Voirnot montre une bonne adaptabilité.
1 commentaire:
Voilà un post bien intéressant .... Bon long week end Joëlle
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