Voici ce que j'écrivais en avril 2012 :
"Il y a un an je me lançais à fond dans la généalogie...
Avec méthode, techniques, Internet, conseils, atelier mensuel au village voisin...
Et aussi échanges, nouvelles connaissances...
Recherches historiques dans le prolongement
pour savoir ce qui se passait durant la vie de tel ou telle...
Corrèze, Dordogne et Lozère du côté du nom de mon époux
Moselle, Alsace et peut-être Allemagne du côté de mon patronyme....
Et la branche maternelle issue de Slovaquie
Il y a comme une magie à faire ressusciter des personnes décédées...
A les imaginer...
Modestement depuis un an j'ai pu mettre à jour presque 900 personnes (en commençant par nos contemporains), famille et alliés.
Avec quelques 6 ou 7 livrets de famille pour démarrer (on est assez conservateur chez nous)
La date de naissance la plus ancienne trouvée est 1726.
On peut faire mieux...
J'ai le temps..."
Depuis j'ai contacté et suis en contact avec "des cousins éloignés". Nous avons échangé. Des connaissances. Parfois des photos. Des souvenirs parallèles qui se rejoignent.
J'ai fait "mon arbre", celui de mon mari, celui de mes belles-filles et gendres... Celui de ma belle-soeur avec elle. Celui de mes tantes par alliance.
Puis celui d'amies. De personnes qui me sollicitent. D'élèves qui n'avancent pas vite.
J'anime chaque mois un atelier de généalogie depuis 2011. Cette année j'ai 15 inscrits. Dont pas mal de "nouveaux".
On recherche ensemble, on y rit, on échange. Parfois on y pleure.
Et j'ai plus de 3 000 personnes dans mon arbre. Et j'ai remonté parfois avant 1726...
Tout est de plus en plus numérisé; on avance plus vite. Mais je trouve cela "moins passionnant" car plus facile. Souvent trop facile.
Néanmoins cela reste une technique. Qu'il faut connaître. Et maîtriser a minima.
Ma plus belle trouvaille?
Une branche de ma famille paternelle qui étaient "indienneurs" c'est à dire qui fabriquaient des toiles dites "indiennes".
Dont un couple au 18ème siècle qui a vécu dans plus de 7 lieux différents en France, dont la vallée de la Bièvre ( près de chez nous, à Jouy-en-Josas).
Ainsi que les parents de l'épouse. Et dans chacune de ces villes une manufacture d'indiennes ( j'ai lu un livre très technique là-dessus).
De Suisse en Normandie...
Il me reste d'aller à Bolbec.
1 commentaire:
Quand on se lance dans la généalogie c’est passionnant et on se prend vite au jeu. C’est aussi chrono phare, on ne voit pas le temps passer !
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