LORSQUE l’enfant paraît, le cercle de famille | |
Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille | |
Fait briller tous les yeux, | |
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, | |
Se dérident soudain à voir l’enfant paraître, | |
Innocent et joyeux.
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Seigneur! préservez-moi, préservez ceux que j’aime, | |
Frères, parents, amis, et mes ennemis même |
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Dans le mal triomphants, | |
De jamais voir, Seigneur, l’été sans fleurs vermeilles, | |
La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, | |
La maison sans enfants ! | Victor Hugo | | | |
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1 commentaire:
joli sourire !!! elle fera bientôt de gros bisous !
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