Livres lus en juillet

 "LA RITOURNELLE",  Aurélie Valognes

Un petit livre facile à lire. Pas inoubliable...

Heureusement le dernier chapitre rattrape le tout.

A lire si vous détestez les Fêtes de Noël !

"Anne, l'aînée d'une famille de trois enfants doit organiser le repas de la veille de Noël depuis que sa mère, Nadine ne l'organise plus. Le jour du 24 avec son mari Antoine, ils ont encore une foule de choses à faire. le sapin penche dangereusement et c'est un symbole car plus la soirée avance, plus il va pencher."

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 UNE BD

(conseillée par mon cousin depuis plusieurs semaines. Et achetée au musée de Pithiviers.)

C'est le tome 1 d'une série de 4 ou 5 volumes.

Spirou dans la tourmente de la fin des années 1930.

De nombreuses expositions sur ce thème les dernières années à partir de fin 2022 (Paris, Lyon) 

CLIC ICI

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"L'HEURE DES FEMMES", Adèle Breau (décembre 2022)

Roman porté par la figure de Ménie Grégoire, sa grand-mère, Adèle Bréau unit les destinées de femmes qui, malgré leurs différences, se tendent la main. Amour, maternité, droits, sororité... l'auteure explore sur cinq décennies les avancées, paradoxes et régressions de la condition féminine, les mettant en résonance dans une fresque résolument romanesque.

  "Ménie Grégoire écrit d’abord sur des sujets artistiques avant de collaborer régulièrement à la revue Esprit ou au Monde, publications dans lesquelles elle commence à s’intéresser à la place de la femme dans la société. Peu à peu, elle s’impose comme la spécialiste de l’émancipation féminine. Dans le journal Elle, elle tient rubrique sur le sujet, ce qui lui vaut un courrier important. Son livre Le métier de femme, qui paraît en 1964, est un succès retentissant qui lui ouvre les portes de la radio.

De 1967 à 1981, chaque jour, sur l’antenne de RTL, elle dialogue avec les femmes (même si certains hommes témoignent également) de tous les sujets, des plus anodins aux plus tabous. Ainsi, la France entière entend des auditrices parler, avec Ménie Grégoire, de plaisir sexuel féminin ou de contraception. Dans Allô Ménie, on parle aussi de psychanalyse, des rapports hommes/femmes, de violences familiales, de travail,… Ce sont des sacs de courriers entiers qui arrivent chaque jour à la radio pour témoigner de la vie quotidienne des femmes à celle qu’on appelle « la dame de cœur »"

J'ai découvert que les "sérieuses" archives départementales d'Indre-et-Loire ont gardé tous les enregistrements, toutes les lettres de ce moment de notre "Histoire".

 

 Mes préférés du mois :

"CE QUE JE SAIS D'ELLE", Béatrice Hammer ( avril 2021)

Une femme, épouse, mère de famille n'est plus là; disparition volontaire ou pas ?

Courts chapitres par ceux qui l'ont connue... ils donnent "leur" avis... morte ou vivante ? départ volontaire ou pas ?

Comme une personnalité peut être multiple.

"Je ne ne vous dirai pas qu'elle était heureuse, elle était beaucoup trop intelligente pour çà. "

" A trop vouloir protéger ceux qu'on aime, on finit par les ramollir; après, ils ne sont plus capables de rien." 

"Vous me direz, ce n'est pas parce qu'on sait sourire, qu'un beau jour, on ne plaque pas tout."

« La passionnante reconstitution d’un itinéraire singulier. » Le Monde

« Un portrait où s’exprime tout le non-dit des mystères et de la complexité d’une vie de femme. » Le Vif / L’express

« Cent quarante-quatre pages d’une vivacité mordante » Témoignage Chrétien

"S'ADAPTER ", Clara Dupont-Monnot

Celui-ci c'est vraiment un livre que j'ai beaucoup aimé.

Le handicap puis la disparition d'un enfant, vus par les 2 frères et la soeur; comment leur vie s'en est trouvée très changée... comment ils vivent très différemment la situation et le chaos familial qui s'en suit. Durant de longues années.

"C’est l’histoire d’un enfant différent, toujours allongé, aux yeux noirs qui flottent. C’est l’histoire de sa place dans la maison cévenole où il naît, au milieu de la nature puissante ; de sa place dans la fratrie et dans les enfances bouleversées. Celle de l’aîné, qui, dans sa relation fusionnelle avec l’enfant, s’abandonne et se perd. Celle de la cadette, dans la colère et le dégoût de celui qui a détruit l’équilibre. Celle du petit dernier qui a la charge de réparer, tout en vivant escorté d’un frère fantôme. Comme dans les contes, les pierres de la cour témoignent.
La naissance d’un enfant handicapé racontée par sa fratrie."

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Un seul livre acheté ; la BD (par mon mari !)

Tous les autres venant de la médiathèque